
Crise climatique, crise institutionnelle, crise des fake news, crise politique, crise du pouvoir d’achat, et maintenant crise de notre mode de vie.
Les actifs ne sachant comment inverser la tendance menant nos sociétés vers l’abîme, ce sont les retraités qui reprennent le flambeau, et d’une manière aussi terrifiante qu’inimaginable.
« Monsieur Jean se lève, réfléchit à toute cette folie. Doit-il lui aussi faire quelque chose d’utile en ajoutant sa pierre à l’édifice ? Il a enseigné la philosophie pour aider les jeunes à penser par eux même, à se libérer de la servitude volontaire, piège dans lequel sombre la plus part. Il a vu des lumières s’allumer dans le regard de certains élèves. Il a su alors qu’il avait réussi, que cette vocation n’avait pas été inutile. Mais aujourd’hui tout cela semble vain. »
L’auteur questionne la fin de l’aventure que proposent nos sociétés « modernes ». Un roman coup de poing sur le soir de la vie.